
Arrivée sur l’hippodrome. Léa Masson Deblaize - © Photo A. Bernard
Avez-vous préparé votre sac de course ? Allez le chercher, nous allons vérifier que rien n’a été oublié. Avez-vous le livret de votre poney ? Est-ce que la malle de course est bien complète ? Vous vous rappelez ce que je vous ai dit pendant la Formation, les commissaires sont intransigeants sur la tenue du driver, la présentation du poney, la conformité du matériel et des livrets.
Paul et Léa déclarent qu’ils ont tout bien fait.
Le bruit du pont du camion qui s’abaisse prévient notre petite troupe que c’est l’heure du départ. Léa se présente la première pour monter dans le camion avec à la longe Ourasi son poney, suivie de Paul avec First Landais. Paul rassure son poney qui est un peu nerveux, il lui parle et lui caresse l’encolure pour le rassurer. La malle est chargée, le pont refermé, on accroche les sulkys, en les attachant solidement par des lanières. L’épouse de Stéphane, Virginie, donne les dernières consignes aux enfants. Elle doit terminer le travail au Club et les rejoindra plus tard en voiture avec les petites sœurs de Léa.
Les voici en route vers cette nouvelle aventure. A l’arrivée sur l’hippodrome le chauffeur gare le camion à la place réservée aux poneys. Chacun s’affaire, les poneys sont descendus du camion, Léa et Paul, se dirigent vers le secrétariat des balances, afin de déposer le livret pour l’enregistrement de leur poney pour la course.
Paul et Léa déclarent qu’ils ont tout bien fait.
Le bruit du pont du camion qui s’abaisse prévient notre petite troupe que c’est l’heure du départ. Léa se présente la première pour monter dans le camion avec à la longe Ourasi son poney, suivie de Paul avec First Landais. Paul rassure son poney qui est un peu nerveux, il lui parle et lui caresse l’encolure pour le rassurer. La malle est chargée, le pont refermé, on accroche les sulkys, en les attachant solidement par des lanières. L’épouse de Stéphane, Virginie, donne les dernières consignes aux enfants. Elle doit terminer le travail au Club et les rejoindra plus tard en voiture avec les petites sœurs de Léa.
Les voici en route vers cette nouvelle aventure. A l’arrivée sur l’hippodrome le chauffeur gare le camion à la place réservée aux poneys. Chacun s’affaire, les poneys sont descendus du camion, Léa et Paul, se dirigent vers le secrétariat des balances, afin de déposer le livret pour l’enregistrement de leur poney pour la course.

Clément Duvaldestin - © Photo A. Bernard
Les autres concurrents sont également arrivés. Une fois les poneys installés confortablement, les jeunes et leurs encadrants se dirigent vers le restaurant où une table leur est réservée pour qu’ils puissent déjeuner ensemble et faire connaissance.
L’heure de la course approche. Les équipes rejoignent les camions. Chaque driver attelle son poney. Ensuite les enfants, en tenue de course, vont jusqu’aux balances, en traversant le public qui leur adresse des petits mots d’encouragement. Une personne, derrière un bureau, les accueille avec un sourire, ce qui les rassure un peu. Léa, intimidée, répond par un petit salut militaire (rituel des drivers professionnels), se présente, cite le numéro qui lui a été attribué lors des déclarations de partants. Un préposé lui remet un jeu de plaques.( plaques carrées en plastique de couleur portant les numéros attribués pour la course, qu’elle accrochera de chaque côté du harnais de son poney ). Le cérémonial terminé, nos drivers retournent auprès de leur poney. Après avoir attaché la mentonnière de leur casque, ajusté leurs lunettes et mis leurs gants, ils s’installent sur le siège de leur sulky qu’on règle une dernière fois, passe les rênes sous leurs fesses. Un petit coup de rêne, et le poney avance au pas devant un public déjà conquis par les mini-drivers.
L’heure de la course approche. Les équipes rejoignent les camions. Chaque driver attelle son poney. Ensuite les enfants, en tenue de course, vont jusqu’aux balances, en traversant le public qui leur adresse des petits mots d’encouragement. Une personne, derrière un bureau, les accueille avec un sourire, ce qui les rassure un peu. Léa, intimidée, répond par un petit salut militaire (rituel des drivers professionnels), se présente, cite le numéro qui lui a été attribué lors des déclarations de partants. Un préposé lui remet un jeu de plaques.( plaques carrées en plastique de couleur portant les numéros attribués pour la course, qu’elle accrochera de chaque côté du harnais de son poney ). Le cérémonial terminé, nos drivers retournent auprès de leur poney. Après avoir attaché la mentonnière de leur casque, ajusté leurs lunettes et mis leurs gants, ils s’installent sur le siège de leur sulky qu’on règle une dernière fois, passe les rênes sous leurs fesses. Un petit coup de rêne, et le poney avance au pas devant un public déjà conquis par les mini-drivers.
On entend les haut-parleurs de l’hippodrome : « Mesdemoiselles et Messieurs les drivers du Prix Trot Top Tour, en piste ». Ça y est, c’est à eux. Encadrés par les adultes qui veillent à leur sécurité, nos concurrents se dirigent vers la piste.
Les jeunes drivers détendent leurs poneys sur la piste en herbe, avant de se présenter, dans l’ordre de leurs numéros, pour le départ sous les ordres du starter. La tension monte, les huit concurrents vont s’affronter. La voix du starter jaillit du haut-parleur : 1, 2,3… Les huit partants de la course s’élancent. Nos drivers juniors sont concentrés pour un parcours de 1500 m. Le speaker commente la course. La voiture des commissaires suit les concurrents, qui vont bon train (20km à l’heure). Les clameurs du public les portent jusqu’au poteau d’arrivée. Sourires aux lèvres, les jeunes drivers rejoignent les balances où le vétérinaire de service vérifie le signalement de chaque poney. Les appareils photo crépitent, le vainqueur est accaparé par les photographes et par le speaker de l’hippodrome qui, micro à la main, demande au gagnant ses impressions sur la course, devant les parents amusés des réponses de leur fils. Le Président remet la coupe de la victoire et des cadeaux au vainqueur, ainsi qu’à chaque concurrent. Apres avoir soigné les poneys, rangé le matériel, et mis dans le sac, leurs tenues, enfants et poneys prennent le chemin du retour à bord du camion. La conversation va bon train, dans la cabine. Les pères et les enfants, enthousiastes, analysent la course. Stéphane et Teddy donnent des conseils pour la prochaine fois. Quelques kilomètres plus loin, tombant de sommeil, Paul et Léa, bercés par le bruit du moteur, s’endorment en rêvant à de futures victoires.
Les jeunes drivers détendent leurs poneys sur la piste en herbe, avant de se présenter, dans l’ordre de leurs numéros, pour le départ sous les ordres du starter. La tension monte, les huit concurrents vont s’affronter. La voix du starter jaillit du haut-parleur : 1, 2,3… Les huit partants de la course s’élancent. Nos drivers juniors sont concentrés pour un parcours de 1500 m. Le speaker commente la course. La voiture des commissaires suit les concurrents, qui vont bon train (20km à l’heure). Les clameurs du public les portent jusqu’au poteau d’arrivée. Sourires aux lèvres, les jeunes drivers rejoignent les balances où le vétérinaire de service vérifie le signalement de chaque poney. Les appareils photo crépitent, le vainqueur est accaparé par les photographes et par le speaker de l’hippodrome qui, micro à la main, demande au gagnant ses impressions sur la course, devant les parents amusés des réponses de leur fils. Le Président remet la coupe de la victoire et des cadeaux au vainqueur, ainsi qu’à chaque concurrent. Apres avoir soigné les poneys, rangé le matériel, et mis dans le sac, leurs tenues, enfants et poneys prennent le chemin du retour à bord du camion. La conversation va bon train, dans la cabine. Les pères et les enfants, enthousiastes, analysent la course. Stéphane et Teddy donnent des conseils pour la prochaine fois. Quelques kilomètres plus loin, tombant de sommeil, Paul et Léa, bercés par le bruit du moteur, s’endorment en rêvant à de futures victoires.

Douche Après la course Robin Bouvier - © Photo A. Bernard